Après Diego Da Silva, c’est au tour de Stéphane Pottelet de décortiquer le championnat d’Europe 2017. Il revient en détail et avec beaucoup de réalisme sur cette première épreuve phare du calendrier international.
Introduction sur ce championnat d’Europe de pêche au coup en Italie
L’épreuve se disputait cette année sur le canal Bianco sur la commune d’Adria dans la banlieue de Venise. Le parcours sélectionné, un canal d’une bonne centaine de mètres de large avec un fond de 3m50 à 5m00 à 13 m et soumis à d’importantes variations de courant et de hauteur d’eau dû à la proximité de la mer et donc de l’influence des marées. Les poissons dominants sont des brèmes et silures, ces derniers n’étant pas comptabilisés pour l’épreuve.
Quels enseignements as-tu pu tirer des entraînements ?
« Nous étions confrontés à un parcours en perpétuel mouvement. Les entraînements du lundi au jeudi ont été disputés sous l’influence de la marée montante, de ce fait, peu de courant et parfois ce dernier était inversé. L’emploi de ligne de 0.8 à 6gr était de rigueur. Les brèmes acceptant plus facilement une ligne bloquée a conduit la plupart des équipes à opter pour une pêche au flotteur plat.
Au niveau des esches, les vers de vase et le ver de terreau semblait le menu préféré de nos compagnons de jeu.
Le rappel à la main était à proscrire sous peine d’attirer les silures et le recours à la coupelle comme souvent s’est avérée une obligation. Niveau amorce : de la terre, encore de la terre et un petit peu d’amorce. 2 Kg d’amorce seulement sur les 20 litres autorisés.
La distance de pêche se situait entre 11m50 et 13m00 et le staff a vu apparaître le jeudi une pêche à mi-distance (7-9m), pêche à laquelle les membres de l’équipe croyaient peu…
Comment s’est déroulée la 1ère manche ?
Pour ma part, j’ai hérité du secteur C dans la partie amont. Niveau marée, nous allions être confrontés à une pêche en marée descendante donc nous devions nous attendre à plus de courant. Afin de pouvoir m’adapter à toutes les situations j’avais décidé de monter pas moins de 12 kits (9 pour le large et 3 pour la mi-distance). Les lignes s’échelonnant de 1gr à 30 gr.
Amorçage et début de la pêche
Pour l’ amorçage, j’ai opté pour un amorçage massif sous la 13m, 7 litres sous la forme de mandarines envoyées à la main couplée à 6 coupelle de terre farcie d’esches, pour la mi-distance 10 boules ont été déposées à la coupelle.
Je débutais la manche au large et malheureusement sans touche sur les premières coulées. Au bout de 10 minutes je ferre mon 1er poisson à savoir une plaquette de 250 gr. Puis les minutes s’égrènent sans la moindre touche. Mes 2 voisins Russe et Biélorusse enregistrent des prises régulières et au bout d’une heure de pêche j’ai 5/6 poissons de retard.
Devant cette absence de poisson sur mon coup principal je décide de revenir sur celui à mi-distance. Je prend un petit plat de 3gr et à la première coulée, je loupe une touche, à la seconde également, la 3ème sera la bonne je prendrai une bordelière de 80 gr. Je décide de prendre une ligne légère et de pêcher à passer et là je mets au sec régulièrement des prises de 50 à 120 gr.
Un changement nécessaire de stratégie
Mes voisins enregistrent moins de touches mais chaque prise fait entre 200 et 800 gr. Bref je n’arrive pas à combler mon retard bien au contraire. Je décide de repartir au large et malheureusement mon coup semble désespérément vide. Je reviens sur le bord avec une toute autre approche je saisi le 6gr plat et décide de pêcher à caler avec de petits vers de terre et là quelques minutes plus tard je prends des poissons plus gros. Une 1ère plaquette de 400 gr, une autre de 600, une troisième de 400 rejoignent la bourriche, vite accompagnées par une autre de 1,2 kg.
Je reprends de nombreuses places en fin de manche. Pour finir, je termine avec plus de 6,5 kg et obtiens une 6ème place de secteur sur 24. Je réalise un meilleure score que mon voisin Biélorusse mais mon autre voisin termine 3ème de secteur.
Les résultats des autres membres du groupe France arrivent et nous réalisons une très belle 1ère manche avec une 3ème place au classement provisoire avec 31 points (3-4-6-6-12), derrière les belges qui affichent 14 points et les italiens 26 mais loin devant les 4ème les Biélorusses avec 48 points. Le podium semble plus qu’accessible.
Déroulement de la seconde manche
J’hérite de l’aval du secteur B, le B3. La veille, cette place était occupée par un pêcheur portugais qui avait terminé à la 17ème du secteur sans réussir à prendre un poisson au large dixit les commissaires italiens présents sur le secteur la veille. Tout comme la veille, je décide de faire 2 coups en utilisant la même stratégie d’amorçage à 9m et en amorçant légèrement en retrait sur le coup du large.
Je débute la manche au large et malheureusement pas de touche, le coup semble totalement désert, le courant est vif et j’ai besoin d’utiliser le 30 gr pour tenter de bloquer.
Je décide donc de venir en bordure pour décapoter et faire des points et là …. Pas de touche également. Les minutes passent et les bourriches restent vides, 20, 30, 40 minutes toujours pas de touche. Dans le secteur les pêcheurs n’ont pas trop de touche mais certains ont 7/8 poissons et la moyenne est à 3 prises.
Première touche au bout de minutes
45ème minute première touche à mi-distance, une plaquette de 250 gr, 3 coulée après une seconde du même poids et 5 minutes plus tard un carassin de 500 gr. Je termine la première heure avec environ 1 kg et je me situe dans le milieu de tableau.
Je débute le 2ème heure avec plein d’espoir malheureusement les poissons semblent avoir désertés à nouveau le coup, il me faudra attendre 30 minutes supplémentaires pour enregistrer une nouvelle touche, c’est encore un carassin de 500 gr qui rejoint ses congénères, la coulée suivante je casse sur un joli poisson et plus aucune touche, la 3ème heure c’est la traversée du désert : capot.
Après la troisième heure
J’ai rétrogradé au classement je me situe entre la 18ème et la 22ème place du secteur. Je tente de construire mes coups au large et à mi-distance avec l’apport régulier de coupelles mais rien n’y fait. A 20 minutes de la fin je décide de changer radicalement d’option et décide de rappeler à la main au large. A la 3ème boule j’enregistre ma première touche au large sur mon 30 gr, un brème de 800 gr rejoint ma bourriche, j’insiste avec le rappel à la main j’ai une seconde touche que je loupe.
La manche se termine et j’ai 5 malheureux poissons dans ma bourriche. La balance affiche 2,3 kg ce qui me permet d’obtenir une 13ème place de secteur, bien meilleure que mes voisins directs (Biélorusse encore et Luxembourgeois) qui terminent au-delà de la 20ème place.
Bilan des deux jours pour ce championnat de pêche au coup en Italie
Les résultats des membres de l’équipe arrivent au compte-goutte, La France termine cette manche avec 55 points (4-10-12-13 et 16) en ayant quasiment battus tous ses voisins directs. Les belges n’arriveront pas à faire mieux sur cette manche avec 57 pts. Les Italiens sont annoncés rapidement champion d’Europe par équipe et les amis belges devancent les Hongrois d’une paire de points.
L’équipe de France termine à une honorable 5ème place. Un résultat décevant au regard de son classement de la première manche mais tout à fait honorable.
D’après toi qu’a t-il manqué à l’équipe de France pour décrocher une médaille par équipe ?
Un peu plus d’expérience sur ce parcours en marée descendante. Je pense que lors de la seconde manche les poissons étaient moins loin qu’à la première car le courant était plus vif. Si cela était à refaire je préparerai le coup à mi-distance à 6.5m/7m au lieu de 9m et celui du large entre 11 et 11m50. Je voulais vivement remercier Daniel et Mauricette MOMMEJA pour leur dévouement et leur soutien ainsi que Frédéric FOURMY qui m’a coaché sur ce championnat.
Ce championnat d’Europe 2017 était le baptême du feu pour le nouveau capitaine de l’équipe de France de pêche au coup, Paul-Louis Lafont. Après de longues années passées au sein de l’équipe de France en tant que pêcheur, il revient pour nous sur cette première expérience en tant que manager.
Première expérience de capitaine de l’équipe de France de pêche
Ma première expérience en tant que capitaine de l’équipe de France séniors, s’est dans l’ensemble plutôt bien passée. Je connaissais bien la plupart des pêcheurs sélectionnés pour avoir pêché avec eux pendant plusieurs années en équipe, et ce, jusqu’à encore l’année dernière. J’y ai intégré des jeunes. Certains pour pêcher, d’autres pour coacher. Ils ont su rapidement s’intégrer au groupe, et nous pouvons nous en satisfaire.
Faire abstraction du passé
Même à chaud et au lendemain seulement de ce championnat d’Europe, je ne me retourne que très rarement sur le passé. Que ce soit dans la vie privée, professionnelle ou sportive, la page est tournée. Si nous voulons aller de l’avant, seul le présent et le futur ont de l’importance. Maintenant, étant un gagneur dans l’âme, je ne peux pas être entièrement satisfait de cette 5ème place. Bien que ce soit un bon résultat, il ne faut pas oublier que nous étions 3ème à l’intermédiaire.
Manque de pratique en rivière
L’approche tactique était bonne, la première manche nous l’a prouvé. Il n’y avait rien à changer pour aborder la seconde. Je pense que nous sommes un peu en dessous de certaines équipes lorsqu’il s’agit de pêcher véritablement en rivière. Nous n’y pêchons plus depuis bien des années. Et il est clair que cela nous a manqué pour prendre le peu de poissons qui nous auraient permis de “gratter ” quelques places. Dix points pour le podium sur des secteurs de 24 en deux manches, ce n’est vraiment pas grand-chose. Les équipes qui sont devant ont eu l’occasion de pêcher le parcours à plusieurs reprises. Cela leur a certainement permis de mieux appréhender les changements de courant et de niveau d’eau, dû aux marées.
Construction de l’avenir
J’espère maintenant que nous aurons l’occasion de vite retrouver des championnats de France en rivière; Avec du courant et pas des parcours, où l’on peut caler sa ligne avec un flotteur de moins d’un gramme. D’ailleurs, j’avais déjà prévu depuis le début de l’année, de faire une ou deux épreuves avec l’équipe de France au complet, sur des pêches de ce type.
Diego est un pilier de l’équipe de France et compte parmi les pêcheurs les plus expérimentés non seulement au niveau national mais aussi international. C’est avec sa précision habituelle qu’il nous rend compte de la stratégie employée lors de ce championnat d’Europe de pêche au coup 2017.
Deux coups
A l’issue des entrainements, nous avons déterminé qu’il était nécessaire de préparer deux coups. Le premier situé entre 6 et 9mètres du bord en fonction de la profondeur et le second à 13 mètres. Nous avons jeté quelques boules d’amorces sur chaque coup et concentré les esches avec de la terre à la coupelle lors de l’amorçage principal. La gestion des esches était primordiale pour s’assurer un entretien constant des deux coups.
La première manche : Une pêche rythmée
Après quelques coulées au large à 13m sans enregistrer la moindre touche, et comme tous les pêcheurs visibles dans le secteur, je me suis vite rabattu sur le coup de bordure afin de prendre quelques poissons où mon voisin de droite avait réussi à prendre quelques plaquettes.
Je l’ai vite rattrapé et dépassé mais il me fallait entretenir, c’est à dire construire le coup du large en y apportant les esches nécessaires pour attirer et maintenir quelques brèmes.
Le coup de bordure s’épuisant, j’ai décidé d’aller au large et de pêcher plus agressivement: c’est à dire de déposer des coupelles très régulièrement à un rythme soutenu. J’ai encore accéléré lorsque les touches sont enfin arrivées. Comme je l’avais vu aux entrainements, la pêche pouvait se faire dans la dernière heure et rien n’était vraiment perdu avant. Le courant n’avait rien à voir avec celui de la semaine et il a fallu vite s’adapter. Alors qu’en semaine, nous avions utilisé des flotteurs portants entre 1gr et 10gr, le jour J, j’ai dû pêcher avec des modèles de 20, 25 et 30gr plat.
J’ai subi un manque cruel de touches pendant 20minutes. Une casse sur un gros poisson qui vraisemblablement était le gêneur, a fait réapparaître les touches. La perte d’une belle brème à portée d’épuisette me coûte sans doute aussi un point.
La seconde manche
Je l’ai abordé de la même manière que la première sauf que j’ai été contraint de faire la bordure à 10m. Le fond chaotique ne me permettait pas de la faire plus près. J’ai pris quelques poissons plus gros que la veille mais le coup s’est rapidement essoufflé. J’ai dû pêcher comme la veille à 13m avec la même puissance de courant. Cette fois-ci, je ne pouvais pas casser car j’avais prévu des bas de ligne plus forts. Lors de cette seconde manche, le courant s’est complètement arrêté à 10mn de la fin et j’ai dû régler une ligne plus légère qui m’a malheureusement fait perdre du temps. Le niveau descendait de presque 80cm et une brème de plus pouvait me faire gagner le secteur suivant sa taille et j’ai manqué peut-être cette ultime touche dans les 5 dernières minutes.
Feed back : Une pêche toute en patience
Si je devais refaire le championnat, je pêcherais de la même manière en abordant les deux coups de la même façon mais partirais plus tôt au large. Avec le recul, je me suis aperçu que le réglage de la traîne avait encore une fois une énorme importance sur les touches. Malgré la pige de mesure que nous avions installée, il fallait s’efforcer de reprendre le fond qui changeait sans cesse. Seul un réglage optimal, permettait de provoquer une touche et surtout de ne pas harponner ou manquer le poisson. Cette pêche nécessite de la patience car il s’agit de construire un coup et tout peut se jouer dans les derniers instants. Il m’a manqué un peu de réglages car les conditions du courant du championnat n’étaient pas les mêmes que la semaine.
Matériel utilisé par Diego lors de ce championnat d’Europe de pêche au coup
L’équipe de France finit 5ème de ce championnat et Diego à la 9ème place au classement individuel, soit le meilleur français. Considérant qu’il n’existe plus de « petites nations », cette nouvelle place dans le top 10 des pêcheurs français conforte leur position et évidemment celle de Diego parmi les meilleurs également.
Stéphane Pottelet nous livre quelques conseils sur l’amorce pour la pêche au coup en rivière et sur l’amorçage.
La pêche au coup en rivière est de moins en moins pratiquée certes parce que que les eaux de plus en plus claires, pouvant rendre la pêche plus difficile mais également vis-à-vis de l’appréhension des pêcheurs à savoir où déposer leur amorçage dans le courant.
Stéphane nous livre quelques astuces dans cette vidéo.
Si l’amorce est assez lourde, il n’est pas nécessaire de vouloir compenser la force du courant en amorçant plus en amont. Bien au contraire car c’est un handicap pour contrôler sa ligne.
Dans la vidéo Stéphane explique pourquoi l’amorçage et le contrôle de ligne est bien meilleur en aval et ce quelque soit la force du courant.
Si vous souhaitez des renseignements complémentaires pour la pêche en rivière, vous pouvez consulter cet article (cliquer ici). Vous y trouverez u complément sur la lecture du courant:
des spécificités des pêches à bloquer ou caler, où il vaudra mieux une amorce plus lourde et plus inerte. Dans ce cas, vous utilisez plutôt un flotteur plat type SP F15.
des spécificités des pêches à passer, pour laquelle sera plus active et sur laquelle vous prospecterez toute la coulée. Dans vous opterez plutôt pour un flotteur boule de type SP M33
Vous pouvez retrouver toutes nos vidéos sur la chaîne YouTube Garbolino sur laquelle vous pourrez retrouver de nombreuses astuces et conseils de champion, ainsi qu’une présentation en image de notre gamme Garbolino.
Histoire
Fondée en 1945 par Henri Garbolino, l’entreprise est une marque de pêche française, . En 1960, les premières cannes en fibre de verre apparaissent. Dès 1977, c’est le composite qui apparaît. Puis, le carbone avec de l’utilisation de l’enroulement ou des nappes. Aujourd’hui, la majorité des pays européens ont des produits Garbolino sur leur marché. Parmi les différentes techniques de pêche, la marque se concentre en particulier sur la pêche au coup, grande canne, anglaise et feeder. Elle est aussi une marque reconnue pour la pêche de la truite aux appâts naturels.
C’est devenu un rituel pour Diego Da Silva maintenant. Chaque année, il se rend sur le splendide plan d’eau de Szeged en Hongrie pour participer à une compétition de pêche par équipe organisé par le grand champion Hongrois, Tamas Walter. Il revient pour nous sur le déroulement de l’épreuve.
Premiers contacts avec le parcours
Le premier entrainement nous a permis de voir que les poissons-chats étaient moins nombreux que l’année passée. Par contre, le plan d’eau était envahi d’ablettes. Donc je décide de préparer une amorce riche et collante pour les éviter sur le coup.
Je monte aussi des lignes assez lourdes équipées de flotteurs Garbolino DS 24 et 23 sur un nylon de 16/100ème et avec des cendrées, à savoir 10 plombs sur la ligne puis j’ai terminées les lignes par des bas de ligne en 14/100ème avec un hameçon 14. J’ai attendu le second entrainement pour me faire une idée plus précise de la taille des carpes et ainsi choisir la canne avec laquelle je pêcherai cette épreuve.
Choix du matériel et de la stratégie pour cette compétition de pêche en Hongrie
J’ai choisi la Slimax Diamant qui m’a permis de ferrer rapidement les touches furtives et rapides et surtout pour le confort de pêche. L’élastique était un élastique creux Bazookarp Coex de 1,8mm logé sur 3 mètres au sein de kits équipés de l’Elastic Control.
Trois semaines avant le match, il y avait encore de la glace. Ceci explique la faible taille du fil et des élastiques employés. Les carpes n’avaient pas encore la même énergie qu’en pleine saison. Cependant, j’ai vraiment adoré cette pêche fine de beaux poissons, très instructive.
J’ai rappelé exclusivement à la coupelle. A ce petit jeu, le modèle double m’a été bien utile; j’y déposais un petit fond de maïs et une boule d’amorce de la taille d’une mandarine par-dessus. Pour conserver un bon rythme de touches, il fallait réamorcer après chaque prise ou touche manquée.
Déroulement des manches et bilan final
Ce fut une super pêche mais différente de l’année passée. Les carpes étaient plus grosses et plus nombreuses. Lors de la première manche, j’ai terminé 9ème sur 19, handicapé par une piqûre de frelon survenue en début de pêche. Pas facile surtout pour les allergiques!!! Le lendemain, j’ai fait 3/19. 1 résultat par équipe mitigé. Mais nous relativisons cette 9ème place sachant qu’il y avait un grand nombre d’équipes internationales. 37 équipes de 5 pêcheurs dont 5 hongroises et l’équipe anglaise menée par William Raison ont fait le déplacement, vraiment du très beau monde pour une épreuve magnifique.
Pour aller plus loin
Afin approfondir vos connaissances sur la pêche des poissons blancs, n’hésitez à consulter notre site internet garbolino.fr, et en particulier nos pages dédiées à la pêche à la grande canne, et suivez nous sur notre chaîne Youtube.
Histoire
Fondée en 1945 par Henri Garbolino, l’entreprise est une marque de pêche française, . En 1960, les premières cannes en fibre de verre apparaissent. A partir de 1977, c’est le composite qui apparaît, puis le carbone avec de l’utilisation de l’enroulement ou des nappes. A ce jour, Garbolino distribue ses produits dans la majorité des pays européens. Parmi les différentes techniques de pêche, la marque se concentre en particulier sur la pêche au coup, grande canne, anglaise et feeder. Elle est aussi une marque reconnue pour la pêche de la truite aux appâts naturels.
Dans la gamme des scions pleins Picker & Feeder, découvrez les scions pleins carbone Garbolino Challenger.
Présentation des scions pleins carbone Gamme Challenger Garbolino (2,2 mm)
Les scions pleins utilisés sur les cannes Feeder et Picker servent à la détection des touches, en version carbone ils permettent par leur meilleure rigidité de repérer les touches les plus infimes principalement en rivière et cas de vent. Existent aussi en Fibre de verre pour la pêche en étang et par temps calme.
Scion feeder carbone ou fibre? La pêche au feeder permet d’aller chercher les poissons sur le fond à bonne distance du bord. Le scion de la canne feeder fait le lien entre l’amorçoir, l’appât et le pêcheur. Choisir son scion est comme choisir un flotteur pour la pêche au coup traditionnelle : déterminant pour une bonne lecture des touches.
Mickaël LETSCHER nous dit tout sur la meilleure façon de choisir son scion.
Pour aller plus loin
Afin approfondir vos connaissances sur la pêche au coup, n’hésitez à consulter notre site internet garbolino.fr.
Vous y trouverez :
Des fiches produits vous permettant de connaître notre collection.
Le compte rendu des compétitions, parties de pêche et autres.
Des articles de blog. Nous y partageons avec vous, notre passion pour la pêche au coup, en carpodrome, au feeder et à l’anglaise.
Par ailleurs, n’hésitez à visionner nos vidéos sur la chaîne Youtube Garbolino.
Histoire
Fondée en 1945 par Henri Garbolino, l’entreprise est une marque de pêche française. En 1960, les premières cannes en fibre de verre apparaissent, à partir de 1977, c’est le composite qui apparaît, puis le carbone avec de l’utilisation de l’enroulement ou des nappes. Aujourd’hui Garbolino est distribuée dans tous les pays européens. Parmi les différentes techniques de pêche, la marque se concentre en particulier sur la pêche au coup, grande canne, anglaise et feeder. Elle est aussi une marque reconnue pour la pêche de la truite aux appâts naturels.
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Présentation des scions pleins verre Challenger Garbolino (2,2 mm)
Les scions pleins utilisés sur les cannes Feeder et Picker servent à la détection des touches, en version fibre de verre ils permettent par leur souplesse de repérer les touches les plus infimes principalement par temps calme. Existent aussi en Carbone pour la pêche en rivière ou en cas de vent moyen a soutenu.
Scion feeder carbone ou fibre? La pêche au feeder permet d’aller chercher les poissons sur le fond à bonne distance du bord. Le scion de la canne feeder fait le lien entre l’amorçoir, l’appât et le pêcheur. Choisir son scion est comme choisir un flotteur pour la pêche au coup traditionnelle : déterminant pour une bonne lecture des touches.
Mickaël LETSCHER nous dit tout sur la meilleure façon de choisir son scion.
Pour aller plus loin
Afin approfondir vos connaissances sur la pêche au coup, n’hésitez à consulter notre site internet garbolino.fr.
Vous y trouverez :
Des fiches produits vous permettant de connaître notre collection.
Le compte rendu des compétitions, parties de pêche et autres.
Des articles de blog. Nous y partageons avec vous, notre passion pour la pêche au coup, en carpodrome, au feeder et à l’anglaise.
Par ailleurs, n’hésitez à visionner nos vidéos sur la chaîne Youtube Garbolino.
Histoire
Fondée en 1945 par Henri Garbolino, l’entreprise est une marque de pêche française. En 1960, les premières cannes en fibre de verre apparaissent, à partir de 1977, c’est le composite qui apparaît, puis le carbone avec de l’utilisation de l’enroulement ou des nappes. Aujourd’hui Garbolino est distribuée dans tous les pays européens. Parmi les différentes techniques de pêche, la marque se concentre en particulier sur la pêche au coup, grande canne, anglaise et feeder. Elle est aussi une marque reconnue pour la pêche de la truite aux appâts naturels.
Modèle haut de gamme de la collection, développé en étroite collaboration avec Paul Louis LAFONT, Champion de France de pêche au Moulinet. Le choix de matériaux, Carbone Haut Module, et des actions à fait l’objet de nombreux tests. Une gamme de canne anglaise qui ravira les pêcheurs les plus exigeants.
Disponible en 3 longueurs et en 6 versions, vous trouverez la canne qui correspondra le mieux à vos besoins. En 3,90 m nous disposons de 3 puissances. La version Light possède une action parabolique et fera merveille avec l’emploi de petits wagglers (3-15 g) et les bas de ligne de faible diamètre, la version Médium sera adaptée pour les pêches « classiques » à l’anglaise et l’emploi de flotteurs de 7 à 20 g, enfin la version Power vous permettra de propulser les gros porteurs (jusqu’à 30 g) sans effort. En 4,20 m, 2 puissances, la LM (5-20 g) et la Power (10-30 g). En 4,50 m, vous disposerez d’une action Médium, parfaite lanceuse, elle supportera idéalement vos flotteurs de 7 à 20 g. Nous vous conseillons les versions Power pour les pêches à longue distance.
RÉFÉRENCE
LONGUEUR (m)
NB. ELEMENTS
EMCOMB. (m)
POIDS (gr)
GOFRE8432390-3L
3,90
3
1,34
170
GOFRE8432390-3M
3,90
3
1,34
185
GOFRE8432390-3P
3,90
3
1,34
195
GOFRE8432420-3LM
4,20
3
1,45
205
GOFRE8432420-3P
4,20
3
1,45
215
GOFRE8432450-3M
4,50
3
1,55
220
CANNE ANGLAISE ALTIMA MATCH 2 Sections
Modèle haut de gamme de la collection en version 2 brins. La version 2 brins est plébiscitée par nos pêcheurs anglais qui recherchent un produit maniable et nerveux. Cette canne réalisée en carbone Haut Module possède tous les atouts pour en faire un produit incontournable sur les pêches de beaux poissons.
Disponible en 2 longueurs, 3,00 m et 3,45 m. Maniables et nerveuses, les ALTIMA MATCH 2S propulseront à merveille vos flotteurs de 5 à 20 g.
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